Synthèse de mes réflexions personnelles, au cours de ces 2 derniers mois. 1 ou 2 tweets par jour sur @MatthieuPoirot :
- Ambiguïté de rôle : Personne, dans les organisations matricielles, n'a de vision globale de ce qui est demandé à un salarié.
- Décider consiste avant tout à connaitre sa priorité n°1.
- Leçon de Facebook vs Apple : ce n'est pas le nombre de clients qui compte mais la rentabilité.
- Ma productivité : sur quoi je focalise mon attention? Quelles émotions cela déclenche ? Avec quelles conséquences sur ma vie ?
- Personne ne veut travailler dans la durée, avec un client ou un manager, qui ne sait que pointer ce qui ne va pas.
- Le déficit de reconnaissance au travail est un facteur d'amplification des cas de harcèlement et de conflit.
- Leçon de l'histoire : une association doit produire 1+1=3, sous peine de se transformer en guerre de territoire.
- Dans un monde au capitalisme globalisé, le racisme sonne comme de l'amateurisme dans les affaires.
- Pour se développer, un consultant doit être un spécialiste qui généralise progressivement son expertise. Toujours apprendre.
- Leçon de la Grèce : l'organisation ne doit jamais s'adapter aux comportements déviants.
- Remplaçons l'équilibre de vie pro/perso par l'intégration de nos besoins. Nous n'avons qu'une seule vie. Pourquoi compartimenter ?
- J'observe que beaucoup d'entreprises n'anticipent pas la réussite, et ne font plus face. Tjr garder des temps de récupération.
- Le temps et la santé sont les seules ressources rares dans dans notre vie : comment s'organiser pour les conserver ? Voici l'objectif final.
- Un proverbe Romain stipule que celui qui a 3 rois, est un homme libre. Le matriciel favorise les comportements déviants. Leçons de JPMorgan
- L'implémentation d'une mission de conseil n'est jamais parfaite. Ne perdez pas votre temps. Le progrès est l'objectif; pas la perfection.
- L'intervention pour un cas avéré de harcèlement, nécessite souvent de lever la stigmatisation de la victime, par le reste de l'entreprise.
- Lorsque l'on manage une personnalité difficile, l'objectif n'est pas d'augmenter sa performance mais d'éviter d'augmenter sa résistance.
- La surcharge de travail des managers se nourrit du manque d'auto-discipline dans l'organisation de temps de récupération.
- 2 travers possibles, de la fonction RH : 1 ) passer d'une mode à une autre (ex: génération Y) 2) gérer par les coûts et non par le ROI
- Même dans l'industrie, l'entreprise a moins besoin de bras que de cerveaux. Le bien-être professionnel est un impératif économique.
- En ce moment, la rétention des talents est l'une des seules dimensions que l'entreprise contrôle. Voici l'axe RH prioritaire.
- Les salariés ont besoin de respect. Si l'entreprise les questionne, elle doit apporter des réponses. Les sondages peuvent être improductifs.
- En communication de crise, mieux vaut dramatiser que minimiser. "Tient c'est pas si grave au final" ou "en fait c'était plus grave qu'avoué"
- Dans cette période de crise, l'objectif n'est pas de faire plus avec moins, mais de faire moins avec moins. Nous passons en mode survie.
- Signaux faibles des difficultés RH, à venir : le fait religieux dans l'entreprise, le sentiment d'injustice, chez les cadres intermédiaires.
- Lorsque le management manque d'assertivité, c'est aussi parce que les règles collectives, n'ont pas été suffisamment clarifiées.
- Plus d'empathie + moins de discrimination + moins de perfectionnisme = moins de stress, plus d'efficacité et plus d'agilité.
- Le client contrôle la charge de travail. Nous contrôlons les temps de récupération...
- La diversité est une chance, pas une menace. Ce n'est jamais la différence le problème, mais l'indifférence.
- Le perfectionnisme est l'illusion de notre temps. L'efficacité et le bien être se construisent sur les progrès, pas la perfection.
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