Pourquoi sommes-nous tellement attachés (au sens figuré comme réel) aux signes de reconnaissance ? Cette question m'a souvent marqué tant les problématiques relationnelles en sont dépendantes.
Avec le temps et les lectures, je formule l'hypothèse que la reconnaissante est un besoin psychologique car nous devons tous faire face à l'angoisse de mort, c'est à dire au sens de notre existence. La reconnaissance est un processus continu de réassurance.
Cette angoisse me semble d'autant plus importante de nos jours que la société post-moderne s'est construite sur les ruines fumantes des "grands discours" ontologiques. De ce fait, notre contexte anthropologique place la consommation sexuelle de l'autre, le travail, l'obsession de la santé et les objets comme seuls moyens d'engourdissement de cette angoisse existentielle. Plus j'agis moins je pense.
Quelque soit l'époque, la seule vérité est que l'intensité de la vie ne se réalise que par l'acceptation de la mort.
Avec le temps et les lectures, je formule l'hypothèse que la reconnaissante est un besoin psychologique car nous devons tous faire face à l'angoisse de mort, c'est à dire au sens de notre existence. La reconnaissance est un processus continu de réassurance.
- Pourquoi et pour qui vivons-nous ?
- Pourquoi la mort ?
Cette angoisse me semble d'autant plus importante de nos jours que la société post-moderne s'est construite sur les ruines fumantes des "grands discours" ontologiques. De ce fait, notre contexte anthropologique place la consommation sexuelle de l'autre, le travail, l'obsession de la santé et les objets comme seuls moyens d'engourdissement de cette angoisse existentielle. Plus j'agis moins je pense.
Quelque soit l'époque, la seule vérité est que l'intensité de la vie ne se réalise que par l'acceptation de la mort.
Matthieu Poirot
Expert en qualité de vie au travail, leadership et développement organisationnel
Expert in Quality of Life at Work, Leadership and Organizational Development
©Matthieu Poirot, 2015
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