Sur 10 consultants qui vont se lancer cette année, seuls 2 seront encore en activité d'ici 3 ans. Les 2 premières années se déroulent généralement correctement car le consultant peut se reposer sur d'anciens clients, ses amis, ses proches, bref, son réseau social déjà existant. Ce sont les bonnes habitudes prises dès maintenant qui détermineront le cap des 3 ans.
Conseil n°1: Le premier piège est de compartimenter sa production et son marketing.
Le consultant indépendant est une profession libérale qui met au service de ses clients, savoirs, savoirs-faire et savoirs-être. Pour qu'un client vous fasse confiance, faut-il encore qu'il vous connaisse. Dans mes accompagnements de consultants indépendants, le plus grand piège que j'observe est de se lancer à fond dans la production des missions et d'attendre les temps creux pour faire du marketing. La vérité ? Avec ce système vous serez soit en surcharge soit en famine. Les deux pratiques doivent être adressées, au même niveau. Je dirais même qu'il est préférable d'avoir 1 mois sans mission pour faire du marketing, qu'1 mois sans marketing.
Plus de marketing = plus de prospects. Vous pouvez alors choisir les missions où vous servez au mieux votre client. La valeur ajoutée de vos missions est à son maximum. Plus vous faites cela, plus vos clients deviennent des ambassadeurs et font en sorte que vous ayez des clients...
Le conseil indépendant est un positionnement de rareté pas de volume. Les grands cabinets sont organisés pour cela; pas vous.
Conseil n°2 : ne pas créer de partenariat sans réelle mission au bout.
Combien de consultants perdent des journées entières à travailler sur comment faire un méthode commune, sans qu'au final aucune mission réelle ne soit vendue. Ce type d'association, c'est du 1+1=1. Votre temps et votre énergie sont précieux; ne les gâcher pas pour faire face à votre besoin d'affiliation. Vos amis, votre famille, ...sont là pour ça.
Conseil n°3: ne choisissez pas entre spécialiste et généraliste.
Un consultant indépendant est choisi pour sa capacité à apporter une réponse sur-mesure à une problématique complexe. Ce qui compte n'est pas votre degré de spécialisation mais votre capacité à sortir d'une méthodologie standardisée pour travailler de manière spécifique au contexte. Les grands cabinets de conseil ne peuvent faire cela car ils doivent tayloriser le travail et vendre des méthodes à travers des plans marketing. Alors pourquoi se spécialiser et se bloquer des marchés potentiels sur lesquels c'est votre talent qui fera la différence ?
qui a le plus de clients potentiels ?
©Matthieu Poirot 2014
Conseil n°1: Le premier piège est de compartimenter sa production et son marketing.
Le consultant indépendant est une profession libérale qui met au service de ses clients, savoirs, savoirs-faire et savoirs-être. Pour qu'un client vous fasse confiance, faut-il encore qu'il vous connaisse. Dans mes accompagnements de consultants indépendants, le plus grand piège que j'observe est de se lancer à fond dans la production des missions et d'attendre les temps creux pour faire du marketing. La vérité ? Avec ce système vous serez soit en surcharge soit en famine. Les deux pratiques doivent être adressées, au même niveau. Je dirais même qu'il est préférable d'avoir 1 mois sans mission pour faire du marketing, qu'1 mois sans marketing.
Plus de marketing = plus de prospects. Vous pouvez alors choisir les missions où vous servez au mieux votre client. La valeur ajoutée de vos missions est à son maximum. Plus vous faites cela, plus vos clients deviennent des ambassadeurs et font en sorte que vous ayez des clients...
Le conseil indépendant est un positionnement de rareté pas de volume. Les grands cabinets sont organisés pour cela; pas vous.
Conseil n°2 : ne pas créer de partenariat sans réelle mission au bout.
Combien de consultants perdent des journées entières à travailler sur comment faire un méthode commune, sans qu'au final aucune mission réelle ne soit vendue. Ce type d'association, c'est du 1+1=1. Votre temps et votre énergie sont précieux; ne les gâcher pas pour faire face à votre besoin d'affiliation. Vos amis, votre famille, ...sont là pour ça.
Conseil n°3: ne choisissez pas entre spécialiste et généraliste.
Un consultant indépendant est choisi pour sa capacité à apporter une réponse sur-mesure à une problématique complexe. Ce qui compte n'est pas votre degré de spécialisation mais votre capacité à sortir d'une méthodologie standardisée pour travailler de manière spécifique au contexte. Les grands cabinets de conseil ne peuvent faire cela car ils doivent tayloriser le travail et vendre des méthodes à travers des plans marketing. Alors pourquoi se spécialiser et se bloquer des marchés potentiels sur lesquels c'est votre talent qui fera la différence ?
- Je suis spécialiste du coaching dans la fonction publique territoriale dans le sud-ouest
- Je suis consultant en management
qui a le plus de clients potentiels ?
©Matthieu Poirot 2014
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